Bamako plus radical que jamais. Dans un communiqué publié, les autorités de la transition annoncent le retrait du Mali ” de tous les instances du G5 sahel, y compris la force conjointe” du G5 sahel et de sa force militaire antijihadiste. Tout est parti, selon le régime de Goita du refus qui est opposé d’assurer la présidence de cette organisation régionale formée avec la Mauritanie, le tchad, le Burkina fasso et le Niger. La conférence des chefs d’Etats du G5 Sahel pour passage de témoin entre le tchad et le Mali initialement prévue en février dernier, n’a jamais pu se tenir. Le 15 mai, hier, avait été fixé comme date -butoir.
Bamako indexe encore la France.