Une grève de 72 heures des chauffeurs et receveurs des bus des transports urbains Tata a débuté ce lundi, créant un afflux massif d’usagers vers les Cars Rapides, qui se retrouvent à dicter leur loi. Les arrêts des bus de la banlieue sont bondés de monde, tandis que le nombre de Cars Rapides est insuffisant pour répondre à la forte demande, obligeant les passagers à débourser le double des prix habituels pour arriver à destination.
La grève des transports urbains Tata a entraîné des perturbations majeures dans la mobilité des usagers. Ces derniers se sont tournés vers les Cars Rapides pour se déplacer, mais ils ne sont pas en mesure de faire face à l’afflux massif de passagers. Les arrêts des Cars Rapides sont pris d’assaut, laissant de nombreux usagers dans l’attente et peinant à rallier leurs lieux de travail à temps.
Les personnes qui dépendent des transports en commun pour se déplacer ont été particulièrement touchées par cette grève. Avec une flotte de Tata immobilisée, les Cars Rapides sont submergés, et les prix des tickets ont doublé en raison de la forte demande. Cette situation crée des difficultés financières pour les usagers, qui doivent désormais payer des tarifs plus élevés pour leurs déplacements quotidiens.
L’impact économique de la grève se fait également sentir, car de nombreux travailleurs arrivent en retard à leur emploi, perturbant ainsi leurs activités professionnelles. Les entreprises et commerces ont également été affectés par cette situation, avec des absences d’employés.