GRAND PANEL CITOYEN Un cadre de concertation et de dialogue ouvert à tous les secteurs d’activité de la société prévu le 28 avril

par Wassare News
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Après le report de la date du 18 mars dernier dû au climat de tension qui planait à Dakar dans certaines régions du pays, la date du 28 avril a finalement été retenue pour permettre aux citoyens de mesurer les actions de trois ministres de la république. Il s’agit du ministre de l’Éducation nationale, Cheikh Oumar Hanne, du ministre de l’Enseignement supérieur, Pr Moussa Baldé et du ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique, Abdoulaye Saydou Sow. En conférence de presse, ce 22 mars, les initiateurs de l’événement sont revenus sur l’intérêt d’un tel exercice mais aussi sur le format. Ils ont également saisi l’occasion pour clarifier la cause du report de la précédente date qui avait été annoncée. A l’en croire Monsieur Abdoul Aziz Seck, un des initiateurs, ce Grand panel citoyen est un cadre de concertation et de dialogue qui est ouvert à tous les secteurs d’activité de la société. « Cette plateforme devrait permettre aux décideurs publics de faire face aux citoyens pour échanger sur les questions relevant de la gestion de la chose publique. C’est le citoyen qui sera au cœur du GPC pour faire face au ministre par rapport à un secteur donné. C’est juste dire qu’on ne va pas se limiter au secteur de l’éducation, de l’enseignement supérieur ou de l’urbanisme. Il est prévu pour chaque département concerné la production d’un document scientifique qui sera par la suite présenté aux populations. On a déjà des bribes d’informations par rapport aux besoins les plus urgents des populations », a-t-il soutenu.
Pape Ibrahima Ndiaye, pour sa part, indique que la première édition de ce rendez-vous avec les citoyens se tiendra le 28 avril prochain avec la participation des ministres en charge l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de l’Urbanisme et de l’Habitat. « Les ministres pourront faire, dans un premier temps, une présentation de leur bilan et dégager les perspectives. Ensuite, ils diront les limites de leur gestion. Enfin, ils enregistreront les contributions des populations pour pouvoir apporter des réponses aux préoccupations posées par les populations », a-t-il assuré.

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