Une date a été, finalement, fixée pour que Kilifeu, Simon et leur accusateur, soient entendus dans le fond du dossier par le juge d’instruction.
Les avocats de Kilifeu et Simon étaient, hier lundi, dans le bureau du juge d’instruction du 2e cabinet. Ce, pour demander que leurs clients soient entendus dans le fond du dossier, condition sine qua non pour les robes noires de pouvoir introduire une demande de mise en liberté provisoire. Une demande à laquelle le magistrat instructeur a accédée.